Les réformes grecques violent le droit social européen et international
Suite à deux plaintes déposées par les organisations syndicales grecques, le Comité européen des droits sociaux, organe au sein du Conseil de l’Europe chargé de surveiller le respect de la charte sociale européenne, a décidé que certaines parties des réformes du marché du travail induites par la Troïka violent la charte sociale européenne.
De son côté, le Comité de liberté syndicale de l’OIT vient de dénoncer un nombre répété de violations des libertés collectives commises au travers de l’imposition par la Troïka de plusieurs mesures d’austérité et appelle à leur arrêt.
(source : Metis)