Réaffirmant son soutien au combat mené par les syndicats grecs, le Comité exécutif de la CES dénonce une politique qui impose aux salariés grecs et à leurs familles des sacrifices sans précédents depuis la guerre : avec plus d’un million de chômeurs, près de 30 % de la population est tombée sous le seuil de pauvreté. La CES dénonce également l’acharnement de la troïka (Commission européenne, BCE, FMI) à démanteler systématiquement le droit du travail et les moyens de défense des salariés.

De son côté, Transparency International craint que la corruption, qui pour 88 % des Grecs fait partie de la culture d’entreprise de la Grèce et à laquelle participe le monde politique et administratif, ne prolonge la crise.

(source : Transparency International - CES)